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Lannilis en transition/Lanniliz o kemm

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20 décembre 2014

Les pères Noël déboussolés entre pôle Nord et pôle-emploi

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LE MONDE | 18.12.2014 à 12h45 • Mis à jour le 18.12.2014 à 16h33 | Par Gaëlle Dupont

Pour Noël, la police met en garde contre un regain du phénomène qui, depuis trois semaines, alimente la rumeur et joue à nous faire peur.

Victimes du réchauffement climatique qui les empêche de faire glisser leurs traîneaux dans la neige, errants dans les abris de bus ou aux abords des Pôle-emploi, les pères Noël se déchaînent depuis trois semaines en France et le ministère de l’Intérieur redoute Noël, jeudi prochain. Un porte-parole de la police nationale relativise toutefois «ce phénomène de mode sporadique et ponctuel qui est déjà en train de baisser». Un commissaire conseille donc aux médias de ne «pas relancer la machine à rumeurs, donner des idées à d’autres pères Noël, et nous obliger à poster des CRS partout sous la pression, on ne veut pas remettre une pièce dans le juke-box»

Mais dans l’Hérault, où plusieurs pères Noël manifestant ont déjà sévi, le maire de Vendargues (6 000 habitants) vient d’interdire «à tout individu ou groupe de personnes âgées de 13 ans ou plus de circuler en Père Noël dans les rues et espaces publics» pour Noël, les 24 et 25 décembre. Il s’agit de «protéger les enfants en empêchant des Pères Noël en colère de se mélanger aux habitants» et «d’éviter toute confusion et perturbation éventuelles» de la cérémonie officielle.

« Plein les grelots du réchauffement climatique »

La première apparition d’un «Père Noël en colère», selon la terminologie policière, remonte au 13 décembre à Périgueux où un jeune de 17 ans, ayant perdu ses rennes et son traîneau, a poursuivi un 4X4 à bicyclette. Il a expliqué qu’il avait «voulu dénoncer ces voitures qui réchauffent le climat». Puis, dans le Nord-Pas-de-Calais, plusieurs cas ont été signalés et trois plaintes enregistrées. Le préfet a dû dénoncer ces agissements sur Facebook, et la police lancer un avertissement sur Twitter le 16 décembre pour enrayer le phénomène : «Les Pères Noël qui prennent en otage les consommateurs en faisant grève durant les fêtes ne sont pas les bienvenus devant les centres commerciaux.» 

Arrêté ce jour-là, un père Noël de 54 ans qui terrorisait des enfants avec une banderole « sauvons la banquise pas les banquiers » à Douvrin (Pas-de-Calais), sera condamné à six mois de prison avec sursis et 105 jours de travaux d’intérêt général par le tribunal de Béthune. Deux pères Noël de 72 ans, arrêtés dans le Nord avec des petites cloches bruyantes ont dit en garde à vue qu’ils «en avaient plein les grelots du réchauffement climatique».

Pères Noël sur la voie publique 

En réaction à la multiplication de ces pères Noël menaçants, la police a publié le 17 décembre un nouvel avertissement sur les réseaux sociaux, rappelant que «la concentration de pères Noël sur la voie publique est un délit passible d’une peine d’emprisonnement». Dans l’Hérault, où six plaintes ont été déposées, le tribunal de Montpellier a puni sévèrement un père Noël sans emploi et affublé d’une barbe pelée ayant scandé « si tu perds la banquise, tu perds Noël à un petit garçon de 7 ans, qui a «eu la peur de (sa) vie». Son agresseur, qui a reconnu avoir voulu sensibiliser les plus jeunes au réchauffement climatique, a été condamné à douze mois de prison dont quatre ferme lundi.

Les Pères Noël en colère font la une du Télégramme de Brest en Bretagne et du Courrier Picard dans la Somme. A Chelles (Seine-et-Marne) lundi, deux pères Noël munis de vélos ont tenté de distribuer des cadeaux alors même qu'ils venaient de s'inscrire au pôle-emploi. AlternaTV a diffusé une série de reportages montrant plusieurs manifestations de pères Noël (http://goo.gl/TukoeF). Les policiers et gendarmes craignent également ces «miliciens anti-pères Noël». Même si le «phénomène est en phase descendante», en raison du lancement d'un financement participatif destiné à mobiliser contre les effets du réchauffement climatique, les pères Noël n'excluent pas d'organiser d'autres manifestations. 

Ils ont toutefois appelé à donner un #coup2pouce pour le climat sur le site https://alternatiba.eu/crowdfunding, estimant que si chacun s'y met, le climat peut-être sauvé et leurs emplois avec. Déboussolés entre pôle Nord et pôle-emploi, certains pères Noël ont enfin regretté d'être obligés d'avoir recours à des manifestations de colère ou à des hoax dans la presse pour parvenir à sauver le climat de la planète. 

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20 décembre 2014

Le climat à Lima ? Les gouvernenements et chefs d'état choisissent l'inaction

Climat : à Lima, gouvernements et chefs d’Etat choisissent l’inaction

La conférence internationale sur le changement climatique s’est terminée dans la nuit du 13 au 14 décembre à Lima. Les prolongations visaient à sauver un apparent consensus, mais aucune réponse concrète aux défis climatiques n’a été apportée. La Convention de l’Onu sur le changement climatique est devenue le lieu de la recomposition géopolitique internationale. Les États de la planète se focalisent sur les équilibres en présence et les rapports de force à construire. Et renforcent l’inaction en matière de lutte contre les dérèglements climatiques. Décryptage.

« Nous n’en sommes pas au même niveau de développement. Beaucoup de vos pays nous ont colonisé, et nous partons d’un point complètement différent du vôtre ». Tranchant avec l’habituelle retenue des négociations, c’est ainsi que le négociateur de la Malaisie, Gurdial Singh Nijar, a rejeté, au nom d’un grand nombre de pays du Sud, les propositions des États-Unis, de l’Union européenne et de leurs alliés, qui souhaitent modifier le cadre géopolitique qui préside aux négociations sur le changement climatique depuis plus de vingt ans.

Jusqu’à présent, les négociations s’appuient sur un principe qui institue des « responsabilités communes mais différenciées » entre les États et leur reconnaît des capacités d’agir différentes. Avec le protocole de Kyoto, les pays ont été séparés en deux. D’un côté les pays dits « développés » regroupant les pays les plus anciennement industrialisés, historiquement les plus émetteurs de gaz à effet de serre et qui disposent des ressources pour réduire leurs émissions et aider les autres pays. De l’autre côté se trouvent les pays dits « en développement » qui sont invités à agir mais qui ne sont soumis à aucun engagement contraignant.

Instituer une nouvelle hiérarchie planétaire

Tous les pays admettent que ce découpage, qui établit une grille de lecture du monde tel qu’il existait lors de la seconde moitié du 20ème siècle, n’est plus adapté. Mais ils divergent sur les solutions à apporter et, in fine, sur les nouveaux équilibres géopolitiques que cela pourrait induire. Le dilemme comporte plusieurs facettes : il s’agit d’instituer une nouvelle hiérarchie planétaire, ce qui prend nécessairement du temps alors que l’urgence climatique se fait plus pressante. Par ailleurs ce nouvel équilibre doit tenir compte de l’émergence de nouvelles grandes puissances (Chine, Inde, Brésil,...) devenues des acteurs majeurs de la mondialisation économique et financière – et donc de la consommation des matières premières et des pollutions induites. Le tout, en maintenant une différenciation entre les pays, compte tenu de la diversité des niveaux de vie des populations et de leur vulnérabilité face aux dérèglements climatiques.

Prétextant de l’émergence de la Chine, les États-Unis œuvrent depuis plusieurs années pour que le prochain accord soit universel – tous les pays s’engagent – et flexible – le caractère contraignant du protocole de Kyoto disparaît. Les États-Unis plaident pour un instrument juridique souple qui invite l’ensemble des États à définir et annoncer, à intervalles de temps réguliers et de manière unilatérale, leurs propres engagements pour une période donnée. À travers ce modèle dit de « Name & shame », aujourd’hui soutenu de facto par l’Union européenne et de nombreux autres pays riches, chaque pays se verrait accorder un satisfecit international s’il atteint ses objectifs, et il serait « couvert de honte » dans le cas contraire. Ce faisant, il ne serait par exemple plus question de répartir un budget carbone maximum préalablement établi en fonction des recommandations scientifiques.

Le cœur des discussions repoussé à plus tard

Ce n’est pas la seule option sur la table. Le Brésil propose que les pays puissent se différencier selon trois ou quatre cercles concentriques : au centre les pays les plus émetteurs et les plus riches, et en périphérie les pays les plus pauvres et vulnérables. Ces derniers, de leur côté, veulent à tout prix préserver les principes actuels qui sont supposés leur assurer des transferts d’argent et de technologies pour qu’ils s’adaptent aux conséquences du changement climatique. Ils sont inquiets : les pays les plus riches ont tout fait pour que le dispositif de « pertes et dommages », gagné de haute lutte lors de la Conférence précédente à Varsovie, ne soit pas mentionné dans la déclaration finale à Lima. Or ce dispositif permettrait, une fois défini, de financer les conséquences occasionnées par le dérèglement climatique dans les pays les plus vulnérables.

Au final, aucune option ne l’a véritablement emportée sur une autre. Chacun a dû lâcher du lest pour qu’un texte soit adopté et que le gouvernement péruvien sorte la tête haute. Le cœur des discussions sur la différenciation des pays est repoussé à plus tard. Les États-Unis et l’UE se satisfont du fait que chaque pays est à nouveau invité à transmettre à l’Onu sa « contribution ». La Chine, l’Inde et les pays émergents notent que ces contributions n’ont aucun caractère obligatoire pour ce qui les concerne et qu’aucun mécanisme d’évaluation robuste n’a été décidé. A la demande des pays riches, ces contributions ne comprennent pas nécessairement d’engagements en matière financière ou de transferts de technologie. Non contraignantes et probablement pas comparables entre elles, ces contributions n’effraient donc aucun des pays.

Le dispositif de pertes et dommages est finalement mentionné sans qu’il ne soit précisé comment il pourrait entrer en vigueur, à la satisfaction des pays riches. Le principe de responsabilités communes mais différenciées est réitéré sans caractère opératoire clair sur les contributions nationales. La Chine, bien trop contente de maintenir son alliance avec l’ensemble des pays dit « en développement » et de ne pas devenir l’égal des États-Unis – contrairement à la lecture hâtive qui a été faite de leur déclaration commune de novembre dernier – s’en satisfera pleinement tandis que les pays les plus pauvres espèrent pouvoir en tirer, sans grande illusion, quelques financements et soutiens additionnels.

« Aux mouvements sociaux d’inventer une autre histoire »

Et le climat dans tout ça ? La conférence de Lima devait être l’occasion de réexaminer les engagements de réduction d’émissions et les niveaux de financements d’ici à 2020, en particulier ceux des pays riches, pour tenir compte des travaux du Groupe d’experts intergouvernemental sur les changements climatiques (GIEC). Si le texte validé à Lima « note avec une vive préoccupation l’écart » entre ce qu’il faudrait faire d’ici 2020 et ce qui est actuellement sur les rails, aucune réponse concrète n’est apportée. Comme si les États acceptaient d’abandonner l’objectif consistant à ne pas dépasser les 2 °C de réchauffement global d’ici la fin du siècle. « A Paris, nous ne serons pas en capacité d’être dans un scénario de limitation du réchauffement à 2 °C », a d’ailleurs concédé Laurence Tubiana, négociatrice française, sans être démentie par Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères et du Développement international.

A Lima, les États n’auront donc pas su démêler le double dilemme que constituent l’urgence à agir et le nouvel équilibre géopolitique à trouver, hypothéquant ainsi la possibilité d’aboutir à un accord « historique », selon le terme de François Hollande, à Paris en 2015. Il reste donc aux mouvements sociaux et écologistes à trouver la recette de la justice climatique. La mobilisation a été à la hauteur de l’enjeu : 300 000 manifestants à New York le 21 septembre dernier et 20 000 à Lima le 10 décembre, pour ce qui constitue la plus grande manifestation de ces dernières années sur le sujet en Amérique du Sud. Ces mouvements semblent être de plus en plus nombreux à considérer que placer de grandes attentes dans les conférences de l’Onu ne peut que générer de la désillusion. A eux donc d’inventer une autre histoire.

Maxime Combes, à Lima.

19 décembre 2014

Vidéos alternatiba

Vidéo spéciale Noël (2’51) :
https://www.youtube.com/watch?v=pgpKBZTGG0o

Vidéo spéciale fin du sommet de l’ONU sur le climat (2’20) :
https://www.youtube.com/watch?v=zofBzgGrkTg

Vidéo Fash spécial du présentateur de Groland, Moustic (1’36) :
https://www.youtube.com/watch?v=Z8qVEhnNs4k

Vidéo spéciale enjeux du climat en jeu vidéo (0’36) :
https://www.youtube.com/watch?v=m_5D36CeKiI

Vidéo de présentation d’Alternatiba #Coup2Pouce (3’08) :
https://www.youtube.com/watch?v=0pCG4TJTGO8

Merci encore pour votre Coup de pouce pour le climat, vous pouvez consulter la page des remerciements à votre #coup2pouce ici

19 décembre 2014

Alternatiba des Abers : artistes et artisans rejoignez-nous !

Vous êtes artiste, artisans,
Vous êtes musicien, artiste de rue, membre d'une troupe de théâtre ou d'une chorale, d'un groupe de danse ou performeur(se) ?
Nous avons le plaisir de vous inviter à venir le samedi 6 et dimanche 7 juin à partir de 10H00 du matin, animer les rues d'Alternatiba, le Village des alternatives au changement climatique et à la crise énergétique organisé à Lannilis.
Des artistes et artisans - commencent à s’inscrire pour participer de manière bénévole à cette journée, Si vous êtes également partant pour l'aventure, contactez nous dés aujourd'hui au 06 78 65 03 43 ou 06 75 58 45 45 ou à https://alternatiba.eu/abers/.
Alternatiba constituera un village de transition vers le monde demain. Il sera installé sur un espace rendu piéton compris sur la place du marché et dans et autour de l’espace Lapoutroie

De rue en rue, on pourra y voir quelles sont les réalisations et alternatives concrètes (groupement d’achat, agriculture paysanne et durable, écoconstruction, monnaies locales, économies d’énergie, Villes en transition, déplacements doux, banques éthiques, recyclage…) permettant dès aujourd'hui à chacun de lutter concrètement contre le changement climatique en cours.

Les rues seront animées par tous types d'animations musicales, théâtre de rue, lectures publiques, repas partagés, apéros improvisés, jeux divers etc....Tout cela aura des allures à la fois de fête et de mobilisation populaire, de village solidaire et convivial, de salon des alternatives existantes....

Chacun(e) est invité à s'emparer de la rue ce jour là et à montrer combien l'espace urbain libéré de la voiture peut tout de suite créer d'autres conditions de vie, de relations humaines, et de lien social. Cela permettra de montrer également que la société écologique et solidaire que nous voulons construire ne sera heureuse et conviviale, et pas austère et sacrificielle.

En espérant que vous puissiez vous joindre à nous les 05 et 06juin 2015 , veuillez recevoir l'expression de nos salutations les plus amicales.
Le collectif Alternatiba

Nadine, suite à son déplacement sur Lille et son contact avec la coordination nationale, nous fait part des modes d’organisation mis en place et de leur pertinence.
alternatiba.eu
15 décembre 2014

4500 km à vélo pour le Tour de France en tandem entre juin et septembre 2015

                                    ALTERNATIBA et LA CONFERENCE CLIMAT 2015

Pour les coopérateurs EELV : une formidable occasion de se mobiliser

            « Changeons le système, pas le climat »

C’est avec cette ambition que se lancera l’Alternatiba tour de France en tandem entre juin et septembre 2015, dans la perspective de la conférence Climat de Paris en décembre 2015.

 

Après le succès des villages Alternatiba  de Bayonne , Bordeaux, Lille,…Il s’agit maintenant de transformer chaque étape de ce  tour de France de 4500 km en fête des «vraies alternatives» à la crise climatique mais aussi écologique, sociale et économique qui sont liées : voir http://alternatiba.eu/tour2015/

.

La mobilisation prend forme avec déjà plus de 60 projets dans le pays (http://alternatiba.eu/). Ils fédèrent largement les acteurs des mouvements alternatifs locaux et
mobilisent les citoyens autour des questions de transitions. La démarche est résolument positive en mettant l’accent sur « ce qui fonctionne », sur la convergence des possibles, dans lesquels tout citoyen peut se retrouver.


Pour nous coopérateurs, investis dans la concrétisation d’un projet politique, c’est donc une opportunité à ne pas rater. C’est dès maintenant que cela se prépare. Lancez ou rejoignez une initiative près de chez vous. Des adhérents et des coopérateurs se sont déjà impliqués dans des projets concrets (alternatiba66, par exemple), avec un appui du budget des coopérateurs.

 

Il faut faire plus, rassembler un maximum de bonnes volontés autour d’une dynamique positive, riche d’innovations associatives, solidaires, éducatives, énergétiques, environnementales. Il faut montrer aux dirigeants qui se réuniront à Paris en décembre, que les citoyens sont prêts à changer de modèle pour que la planète reste vivable pour tous. 

 

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15 décembre 2014

Tableau des villes du tour de France tandem entre juin et septembre 2015

Download

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15 décembre 2014

Affiche Alternatiba Abers

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6 décembre 2014

Pouce levé pour l'Aternatiba des Abers

Pouce levé pour Alternatiba des Abers

1 décembre 2014

Vidéo Alternatiba

Alternatiba : Une petite vidéo en attendant de se retrouver le 3décembre

https://www.youtube.com/watch?v=DYMdqCPj-Uo&feature=youtu.be

27 novembre 2014

lancement du Tour TandemAlternatiba

Date : 03/12/2014 à 19h - à 22h
Lieu : Lannilis (29), Espace Augustin Morvan
Type d'évènement : Sortie

Le collectif Alternatiba Abers, vous invite le mercredi 3 décembre Espace Augustin Morvan à Lannilisà 19 heures au

Lancement du Tour Tandem : Présentation du parcours et des étapes dont une à Lannilis dans les Abers. 

Du 5 juin au 26 septembre 2015, un vélo 4 places parcourra 5 000 kilomètres pour le climat entre Bayonne et Paris. Symbole d'Alternatiba, ce drôle de vélo traversera 180 territoires de 6 pays Européens, pour porter encore plus fort le message d'Alternatiba : non seulement les alternatives au dérèglement climatique existent, mais en plus, elles construisent un monde meilleur !

Ce tour mobilisera des milliers de collectifs locaux et des dizaines de milliers de citoyens, à quelques mois de l'important sommet mondial sur le climat qui se déroulera à Paris en décembre 2015 (COP21). Or, la solution ne peut pas venir que d'en haut, mais doit aussi être enclenchée depuis nos territoires : c'est le sens de ce Tour Alternatiba.

http://alternatiba.eu/abers/

Apportez votre pique nique pour ce temps d’échange et de convivialité.
 
Le collectif Alternatiba
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